Puisque je constate soudainement l'existence à retardement des Têtes à Claques, je me demande par le fait même quelle fut la date exacte où tout le monde a arrêté d'écouter et de parler de ça?
Était-ce un 13 septembre, ou plus précisément un 24 mai pluvieux? Avant, ou après le souper?
C'est ce que je croyais, vous n'aviez même pas remarqué que vous vous en foutiez depuis un petit bout. Maudite mode de semblant à marde…
Au moins, on se rassure en se disant qu'il y a de ces archives intemporelles qui font en sorte que nous serons toujours fidèles à certains créateurs et créatures, et ce, au-delà de l'air du temps. Prenez Mister T en exemple. Admiré par les quelques dernières décennies, même les gens qui ont sous-loué une existence durant ces années précises seront toujours intéressés à son effigie demain matin… Ce n'est pas rien.
La clé est dans la souplesse historique du personnage. Voyez par vous-mêmes:
Je suis pas mal certaine anyway que Mister T utilise le même genre de technologies que les T.À.C pour s'animer lui-même, via une reproduction de ses émotions sur sa plastique en temps réel. Cette technique est beaucoup trop nano-avancée pour une vulgaire explication sur un blogue du 21ième. Tout ce que je peux vous dire pour l'instant, c'est que je vous déconseille fortement de plonger Mister T dans une source d'eau.
C'est rare, un artiste pas phoney avec un public pas phoney, pis qui aiment leur mère:
"Be somebody"
Une chance que rien ne s'efface, sinon, ça serait dull rendu aux années 2100.
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