Si vous n'étiez ni vivant à la fin des années 60 ni à l'écoute des rediffusions de séries cultes à Canal D durant les années 90, peut-être n'avez-vous aucune idée de qui est Le Prisonnier.
C'est un genre de sex symbole dans mon imagination fertilisante. Apprenez à le connaître.
Je vous force! Go.
L'intro:
Moi, je porte fièrement le numéro 22 sur mon macaron.
Un héros entouré de fans de Twilight:
On ne badine pas avec la poésie
Le monde est petit:
Fawck! Je l'avais pas vu venir celle-là…
Et pour finir, je m'en voudrais de ne pas mentionner la présence de musique, de chants, de démocratie et des projecteurs. (Hipsters sensibles au coeur fragile, s'abstenir)
Le #48 a l'air un peu sale mais il a une belle clochette dans le cou. Ça fit.
J'ai déjà vu ça cette série-là. Et même si ton fantasme ressemble un peu à Christopher Hall, je te comprends. Je trippais sur Roger Moore fak. Moi les hommes semi-vintage quarantenaire qui s'adonne parfois au port de l'ensemble Urban Outfitters: j'aime.
RépondreSupprimerOh my !! Moi quand je l'ai entendu scander : "I'm not a number, I'm a free man !" j'ai eu un trop plein d'humanisme et je suis descendu sur Crescent pour manifester pour l'égalité de la valeur des lettres au Scrabble !
RépondreSupprimer"The final episode, "Fall Out", received a Hugo Award nomination for Best Dramatic Presentation in 1969, but lost out to 2001: A Space Odyssey." - Article Wikipedia
RépondreSupprimerDommage ; moi dans ma tête Stanley peut bien aller "s'rhabiller" !
@Ma mère: AWWWWWW. J'avais aussi un kick sur Le Saint en parallèle. Puis aussi sur Craig, un des Champions. (http://www.commeaucinema.com/bande-annonce/13200) …Je pense que je devrais faire un billet pour cette série car c'est plus-que 22ième siècle.
RépondreSupprimer@Jonathan: AHAHAH. Je m'incline devant une telle révolte alphabétique.