mardi 31 août 2010

Vous êtes pas tannés de vous Botoxer, bande de caves?


Je vous ai déjà parlé du Docteur Z. Mon (ex) ORL.
Ex, entre autres parce que je ne le respecte plus, mais aussi car je pense qu'il ne me respecte plus depuis que je lui ai fait savoir que je ne respectais pas son nouveau commerce profitable.

Quoi de nouveau dans ce dossier, donc, pour que je vous parle du Z? Et bien j'ai une bonne nouvelle les amis, je n'ai plus besoin de me sentir obligée de censurer son nom pour lui éviter d'être embarrassé en public. J'ai découvert qu'il l'a déjà fait lui-même.

C'est donc en trainant dans une salle d'attente que j'ai remarqué des photocopies d'un article à côté des "vrais" pamphlets. Tiens, tiens, le Docteur Zeitouni qui se tient en pleines pages de l'excellent magazine scientifique La Semaine, édition du 28 août 2010.

Ah bin tabarnaque, ai-je dit, comme je le dirais dans une situation semblable.





Une épaisse figée sur papier glacé



Ok. J'exige de ne pas être la seule qui trouve ça consternant qu'un spécialiste du nez, de la bouche pis des oreilles, non seulement investisse la moitié de son temps à faire fluctuer son compte en banque via une mode douteuse… mais qu'en plus il se serve d'une clinique médicale sans rendez-vous pour faire la propagande de son commerce parallèle. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais le taux de vieux est pas mal à son plénum, dans les cliniques médicales. C'est sûr que c'est hot comme idée, de les culpabiliser sans remords d'être des vrais vieux qui ont l'air d'être vieux car ils le sont: c'est sûr. Mais ce qui est mieux, c'est de conditionner les pas-encore-vieux. Là, on est en business pour le futur. Mieux encore, viser des gens fragiles et vulnérables, autrement appelés les malades. WOUHOU. $$$$.

Est-ce que je suis la seule au monde qui va se faire un devoir d'achaler tous les médecins de cette clinique avec mes plaintes non-officiellement reçues? Est-ce légitime, voire même éthique, qu'un doc qui a une position de décideur dans l'administration d'un établissement médical utilise ses privilèges pour s'autopromotionner, ou --pire encore-- faire des photocopies de son entrevue dans un magazine à potins dans lequel il déclare que le Botox ne fige pas la face des vieilles laides qui l'utilisent? (ou les vieux laids, questions d'égalité)

Come on!!!!

Quel clown. Et quels phénomènes de cirque sont ceux qui encouragent ou tolèrent ce genre de petits gestes qui pourraint créer un précédent négatif et dégénératif dans la perception de ce qu'est vraiment la soi-disant "santé"...

Sérieux, votre silence me dégoute, brisez-le si ce n'est pas déjà fait, si vous êtes un minimum pro-22ième siècle, dans votre tête et votre coeur. Mais ce silence généralisé ne me dégoûte pas autant que le sourire niais dans la face du Dr Anthony G. Zeitouni.

Destructeur des 22ièmes siècles de ce monde: sérieusement et scientifiquement: vas chier.

lundi 30 août 2010

Ça sent le demain matin à plein nez



Vaut mieux vous préparer tout de suite, peu importe quand est-ce que c'est que c'est que tout de suite, mais surtout : quand est-ce que c'est que c'est que c'est demain matin?




Avoir l'année 1997 de tatoué sur le cuir chevelu authentique, c'est possible.





Au réveil, le 22ième siècle boit seulement du Nabob en gros grains crus, servi par Michel Dumont, qui tient une baguette en bois dans une main, se trouvant dedans la fin des années 80. Rien d'autre.


PS: Ci-haut se trouve le véhicule tout-usage du Siècle Espéré pour sa tournée de promotion à travers le Québec.

J'dis ça de même...

Avez-vous écouté le Téléjournal ce soir?

André Caillé (à drette du gars à gauche--mais peut-être aussi à gauche du Prince Akim de Zamunda, je ne suis pas certaine-- )

Quelle belle entrevue à sens unique d'André Caillé versus lui-même à propos des gaz de schiste au Téléjournal! Patrice Roy est plus intriguant que jamais, quand il se retient de rire en plein centre du bourbier du direct.

Le gars (Caillé, duh) est tellement une machine à bullshit opérationelle…

Enfin, l'Homme avec une grande hache s'est accouplé avec la machine à calculer (Madame Calculette) et ça a donné André Caillé en pleine campagne de relations publiques à contre-traffic…
(Demandez-moi pas de détails, j'suis pas sûr de ce qui s'est vraiment passé.)

J'ai hâte que les images vidéos sortent du ventre du web!

Dire que je me demande s'il récite encore sa K7 à l'heure qu'il est?
Fort probablement.

Bienvenue aux Extraterriens



Voici la toune du jour de 1997.


Définitivement, une chanson prête pour le prochain siècle, et ce, depuis le siècle d'avant maintenant.


Le sport illustrait son nouveau héros, en 1997. (Tiger= La Myriam Bédard en devenir de 1997, no doubt là-dessus.)

dimanche 29 août 2010

"Ça marche vraiment"



Aujourd'hui, sur le blogue de Patrick Lagacé, on apprend la possibilité de se magasiner un bidule pour se mouvoir dans le temps via les petites annonces…

Pfffffffff. Je suis si peu impressed… J'en ai vu une en premier, une machine à voyager dans le tempo, j'suis donc plus forte que tout le monde! Eh… Ah, non, plus avant-garde je veux dire... La force, c'est pour le monde pas de cheveux comme M. Net.

Donc! Aussitôt que j'ai lu ça sur les interwebs, je me suis pitchée dans mes vieilles boites à la recherche du temps perdu. Après près de deux heures passées dans la poussière d'étoiles, finalement, je l'ai retrouvé, mon souvenir de cette belle et voluptueuse machine à voyager dans le temps que j'avais vue en vente à Londres, au Camden Market, à un moment donné dans le passé.

Photo de la photo de mon souvenir sur fond de nappe en plastique avec des fausses tasses de thé dessus:

(Cliquez pour agrandir votre curiosité)

Le siège à l'air pas mal confortable. Ce qui est plate, c'est que tu peux seulement te permettre des aventures jurassiques ou science-fictives en solo. À moins d'être entrain d'allaiter un kid durant le démarrage, j'imagine que dans ce temps-là, le bambin profite aussi de la promenade, mais c'est peut-être plus di$pendieux car ça demande plus de Flux-Capacitor 5000 Giga-Watts. Anyway, j'ai pas d'enfant, fak dans un sens…j'm'en calice.

Si vous trouvez ça cher, je vous trouve un peu caves. Le temps, c'est de l'argent, yo!
Pensez-y, pis lisez ça, immédiatement:

And indeed there will be time
To wonder, "Do I dare?" and, "Do I dare?"
Time to turn back and descend the stair,
With a bald spot in the middle of my hair--
[They will say: "How his hair is growing thin!"]
My morning coat, my collar mounting firmly to the chin,
My necktie rich and modest, but asserted by a simple pin--
[They will say: "But how his arms and legs are thin!"]
Do I dare
Disturb the universe?
In a minute there is time
For decisions and revisions which a minute will reverse.
-T.S. Eliot

NB: Dommage qu'on ne puisse le voir sur cette photo, mais au pied de la machine on pouvait y lire quelque chose comme : "Born to ride". Wow, ça fait tellement Jim Morrison, pis Jim, bin yé chevelu.

L'univers derrière la télévision



Television is more interesting than people. If it were not, we would have people standing in the corners of our rooms.
-Alan Corenk

Je me suis réveillée ce matin, et soudainement Björk avait quelque chose de nouveau à nous dire:


"Never trust the teller, trust the tale" - D.H. Lawrence


Je ne sais pas si Björk aimerait regarder La Maison de Maxime Lapierre avec moi?


samedi 28 août 2010

La suite d'hier


Ohhh! Notre cyber pote "Lait_ou_creme", le blogueur de chez Abeille en Éveil qui commente de temps en temps sur ce site, a trouvé une bonne vidéo qui résume bien la culture Maori, et je suis pas mal certaine d'avoir entendu le mot "futur" là-dedans. Je parle de lui parce qu'il semble croire en cette mission réaliste qui a pour but de rendre les matchs du CH assez intéressants pour que je m'y pointe afin de voir une belle chorégraphie de Haka effectuée par les futurs George Laraque de cette équipe.

À part faire une guerre mondiale avec (contre?) les NÉO-Zélandais, ça nous apporterait tellement full beaucoup plus d'affaires, en tant que société!





PS impulsif: Pourquoi certains mettent 2 G à blogue et blogueur? Je trouve ça tellement laite, pis ça me donne l'impression que je fais une faute volontaire. En français (langue que je maîtrise à la perfection) ça ne fait aucun sens un double G… NIET SENS SEÑOR SCHUMACHER! (à part si on fait des "suggestions" tsé...)

vendredi 27 août 2010

La seule façon de m'amener voir une partie de hockey… (Ajout)



…c'est en important le Haka, cette danse (FUTURISTE) préparatoire à la guerre qui provient des territoires du Pacifique.

Aucun autre stratagème ne fonctionnera pour me trainer dans un lieu où se tiennent tant de hot-dogs, avec ou sans Price dans les buts. La preuve? J'irais voir un match de rugby des All Blacks dans 3 secondes, si on me l'offrait. Vu qu'on ne me l'offre pas, vous, je vais vous offrir de vous pousser jusqu'à un extrait ci-bas.

Pousse, pousse, pousse.
Ok, on est arrivés. C't'icitte. Juste là, en bas de ma voix.

"This is the hairy man"
Euh...C'est à moi que tu parles…?!

C'est sûr qu'il y a probablement un seul et unique Peuple qui peut s'avérer être aussi intimidant que les Maori… (NB: Je ne parle pas des alcooliques)



C'est- tu pas intéressant de pas être entrain de regarder la télé parce que t'es sur le net? Oui\Non\Peut-être.

Pour conclure ce billet guerrier, sachez que j'ai hâte d'apprendre les pas du Haka, pour m'en servir la prochaine fois qu'on me demandera chez Jean Coutu si j'ai la carte Hair Miles.

Ajout: Ce match-là, j'irais:

jeudi 26 août 2010

De barbe à perruque = same difference (Ajout de Bon Jovi)


"The future is no more uncertain than the present."
-Walt Whitman


("Jon Bon Jovi" !)

Connaissez-vous l'Oncle Walt? Pour se présenter, il dirait sûrement qu'il vous contient et que vous le contenez, et ce, même si vous n'en êtes pas conscients et que vous capotez à l'idée de "contenir" quelque chose de vivant (ou de très mort depuis plus d'un siècle), autre qu'un yogourt bien sûr.

Parce que sans Whitman, il n'y a pas de modernité, et que sans modernité, il n'y a pas de terre fertile pour le futur, j'ose affirmer que nous devons tous un remerciement grandiose à ce poète Américain pour avoir pensé à nous il y a presque 150 ans de cela.

Voici un mini extrait du début de Crossing Brooklyn Ferry. Si vous ne le comprenez malheureusement pas dans sa langue originale, vous pouvez toujours chercher sa version traduite: "Sur le bac de Brooklyn".

FLOOD-TIDE below me! I watch you face to face;
Clouds of the west! sun there half an hour high! I see you also face to face.
Crowds of men and women attired in the usual costumes! how curious you are to me!
On the ferry-boats, the hundreds and hundreds that cross, returning home, are more curious to me than you suppose;
And you that shall cross from shore to shore years hence, are more to me, and more in my meditations, than you might suppose.

* CLAP CLAP CLAP*

Quoi? On demande un rappel?
Ok. Voici les meilleurs moments du très long poème Song of Myself:
(…)
I resist any thing better than my own diversity,
Breathe the air but leave plenty after me,
And am not stuck up, and am in my place.

(The moth and the fish-eggs are in their place,
The bright suns I see and the dark suns I cannot see are in their place,
The palpable is in its place and the impalpable is in its place.)

17

These are really the thoughts of all men in all ages and lands, they
are not original with me,
If they are not yours as much as mine they are nothing, or next to nothing,
If they are not the riddle and the untying of the riddle they are nothing,
If they are not just as close as they are distant they are nothing.

This is the grass that grows wherever the land is and the water is,
This the common air that bathes the globe.

(…)

25

Dazzling and tremendous how quick the sun-rise would kill me,
If I could not now and always send sun-rise out of me.

We also ascend dazzling and tremendous as the sun,
We found our own O my soul in the calm and cool of the daybreak.

My voice goes after what my eyes cannot reach,
With the twirl of my tongue I encompass worlds and volumes of worlds.

Speech is the twin of my vision, it is unequal to measure itself,
It provokes me forever, it says sarcastically,
Walt you contain enough, why don't you let it out then?

Come now I will not be tantalized, you conceive too much of
articulation,
Do you not know O speech how the buds beneath you are folded?
Waiting in gloom, protected by frost,
The dirt receding before my prophetical screams,
I underlying causes to balance them at last,
My knowledge my live parts, it keeping tally with the meaning of all things,
Happiness, (which whoever hears me let him or her set out in search
of this day.)

My final merit I refuse you, I refuse putting from me what I really am,
Encompass worlds, but never try to encompass me,
I crowd your sleekest and best by simply looking toward you.

Writing and talk do not prove me,
I carry the plenum of proof and every thing else in my face,
With the hush of my lips I wholly confound the skeptic.
(…)

51

The past and present wilt--I have fill'd them, emptied them.
And proceed to fill my next fold of the future.

Listener up there! what have you to confide to me?
Look in my face while I snuff the sidle of evening,
(Talk honestly, no one else hears you, and I stay only a minute longer.)

Do I contradict myself?
Very well then I contradict myself,
(I am large, I contain multitudes.)

I concentrate toward them that are nigh, I wait on the door-slab.

Who has done his day's work? who will soonest be through with his supper?
Who wishes to walk with me?

Will you speak before I am gone? will you prove already too late?

52

The spotted hawk swoops by and accuses me, he complains of my gab
and my loitering.

I too am not a bit tamed, I too am untranslatable,
I sound my barbaric yawp over the roofs of the world.

The last scud of day holds back for me,
It flings my likeness after the rest and true as any on the shadow'd wilds,
It coaxes me to the vapor and the dusk.

I depart as air, I shake my white locks at the runaway sun,
I effuse my flesh in eddies, and drift it in lacy jags.

I bequeath myself to the dirt to grow from the grass I love,
If you want me again look for me under your boot-soles.

You will hardly know who I am or what I mean,
But I shall be good health to you nevertheless,
And filter and fibre your blood.

Failing to fetch me at first keep encouraged,
Missing me one place search another,
I stop somewhere waiting for you.

***

AWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWWW !!!!!!! C'est tellement bon… Ça m'a "émouvi" solide!

Venez pas me dire que c'tait full dullong (dull et long, pour ceux qui viennent pas du coin): j'ai enlevé environ 40 pages de texte dans le rappel musical des mots écrits.

Wow, merci Poète Barbu. Pendant un instant, tout ce que tu disais était tellement fascinant que j'en oubliais ma récolte de petits pois sur Farmville.

Gloire à toi, l'Europe!



Encore un accident de trouvaille fortuite... Je ne connaissais pas Boublil, ce comique Français, mais une chose est plus-que-parfaite à son sujet: il m'a fait découvrir l'Inspecteur Derrick.


Voici le splendide vidéo:
(Sérieux, j'aurais aimé ça faire un tel hommage à Bernard Derome à sa retraite #22. Sauf que d'après ce que je comprends, au contraire de Bern, Derrick, yé pas-moins-que-mort.)


Et voici LA scène d'action de toute cette série télévisée allemande:



Bien que j'aille un faible pour les green screens avec rien dessus, il faut avouer que mon réel coup de coeur est décerné aux expressions faciales de Derrick en pleine action de vie ou de mort.

mercredi 25 août 2010

Pourquoi ne suis-je pas surprise que la plupart de ces gens manquent de chevelure?


Comme aucun d'entre vous ne le sait, je suis pas mal fascinée par ma propre relation amour\haine envers les Anglais d'Europe. En ratio, il y a beaucoup plus d'amour que de haine, mais en % de concentration, mon mépris est assez fort pour L'Homme Dancino, mais conçu pour la perruque.

Je viens de tomber sur ce reportage du Guardian, qui a infiltré The English Defence League, un nouveau regroupement d'extrême droite qui gagne en popularité depuis un an. Ça m'a fait penser à la réaction des participants à la manif de cette semaine aux E-U, pour empêcher la construction d'une mosquée près de Ground ZeroDeux endroits qui, bien sûr, ont en commun d'avoir été marqués à leur façon par le terrorisme du 21ième.


Pauvre humanité... Mets ta perruque pare-balle. Ou devrais-je dire, plus précisément, ta tuque anti-couteau, car le k-nife est l'arme fatale officielle en GB.

Parce que la redite, c'est plus poétique: make mine a double + 1


Je mets ça ici…juste-là. Pis ensuite, je vais me retourner, je vais commencer à marcher sur les mains, pis je vais partir.

Vous serez libres de peser sur play ou non, une fois que vous allez être tous seuls avec.

Avant


Après

...Okay, j'suis pu là. Bye!

Oops. J'suis revenue. Je pensais à ça, durant que j'étais dans le cadre de porte d'une autre fenêtre, puis je me disais que ce genre de scènes comme celle ci-bas a eu une forte influence subconsciente sur le pourquoi que c'est donc que le 22ième siècle blogue en 2010 au lieu de juste se préparer à naître en faisant rien....

C'est parce que c'est venu avant, pis que the future is now. You know? C'pas compliqué messemble…


Pas facile la vie de jeune médecin sentimentalement immature

mardi 24 août 2010

We've got some difficult days ahead, but it doesn't matter with me now, because I've been to the mountaintop...



Quand je vois cette performance musicale de Martin Luther King, j'ai espoir que le 22ième siècle ne sera pas imprimé en vain sur les calendriers de la fin du siècle présent:

Via la même équipe qui a fait le remix "Bed Intruder" et "Double Rainbow."

Dieu existe, le vois-tu?

(Photo trouvée via Lagacé mais encerclée pour et par nous.)

QUEL HOMME !!!!!!!! (Pas Bellemare ni Bastarache)

Tsé… c'est le plus beau jour de ma vie. Je crois enfin à l'amour ÉTERNEL... ou du moins l'amour périssable juste après le début du siècle 23.

22 + 6 = amour


Si vous n'étiez ni vivant à la fin des années 60 ni à l'écoute des rediffusions de séries cultes à Canal D durant les années 90, peut-être n'avez-vous aucune idée de qui est Le Prisonnier.

C'est un genre de sex symbole dans mon imagination fertilisante. Apprenez à le connaître.
Je vous force! Go.

L'intro:

Moi, je porte fièrement le numéro 22 sur mon macaron.


Un héros entouré de fans de Twilight:

On ne badine pas avec la poésie


Le monde est petit:

Fawck! Je l'avais pas vu venir celle-là…


Et pour finir, je m'en voudrais de ne pas mentionner la présence de musique, de chants, de démocratie et des projecteurs. (Hipsters sensibles au coeur fragile, s'abstenir)

Le #48 a l'air un peu sale mais il a une belle clochette dans le cou. Ça fit.