mardi 30 novembre 2010

Exemple d'un mauvais usage de la perruque

Merci à une grosse portugaise non-identifiée pour le lien!


Pathétique !

Déjà que sa chevelure naturelle est un mauvais usage de perruque… c'est drôle, mais même en version "Tom Pouce", l'horreur ne diminue pas!

Je'l sais que c'est pas bin bin fin de dire ça….mais…quel raté!
J'ai envie de commander sa performance à 129$ pour rire de lui en vrai.

J'aurais le goût de dire que ça fait pitié, mais je ne pense pas que ce genre de propagande mérite de sympathie.

Je n'aurai jamais eu autant envie de vomir en riant. (Yark, hein?)


So not 22ième siècle. So hors du temps.

lundi 29 novembre 2010

La question à 22 000 piassss, et plus encore



Pourquoi, O pourquoi donc, quand on regarde dans le vide via la fenêtre qui donne sur pas grand chose dans le métro, on se rend compte que plusieurs des panneaux de signalisation (ceux qui disent la prochaine station versus celle qu'on vient de passé) possèdent un collant qui dit exactement la même chose que ce qui est écrit en-dessous?

Exemple:

LAURIER LAURIER

C'est vraiment un phénomène fascinant.


Message aux conducteurs des métros: changer la K7 de la madame
qui nomme les stations, je pense qu'il y a un bogue, car non, ce
n'est pas la station Plamondon qui vient entre Rosemont et
Mont-Royal.


Jeux de type QUIZ:

Dites-moi en quoi cet article est contre-torchamment redondant, à un
point tel qu'on est tannés de le lire après 15 secondes puisque ça crie
aux yeux qu'on se fait prendre pour des imbéciles ?

samedi 27 novembre 2010

Grand concours international de poussage de ch'feux



Les deux candidats officiels pour l'instant qui se mesureront l'un contre l'autre sont : mon amie du (feu) blogue Le Téléphone est sur la charge (RIP blogue), et Fran Healy, artiste compositeur interprète Écossais en spectacle ce soir au Cabaret du Mile-End.


Les intéressés à participer devront me convainque qu'ils ont de beaux cheveux afin de se qualifier pour la finale.



Que le meilleur se coiffe!

jeudi 25 novembre 2010

Le prix de la dote reste à être établi...



Quelqu'un qui fréquente ce blogue, nommée mabev aurait rêvé à moi récemment selon ses confidences dans un commentaire précédent…

Un rêve dans lequel je performerais une danse africaine dans toute son ampleur, et ce, sans qu'on ne se connaisse ni l'une ni l'autre, dans la pas-fausse vie (a.k.a. la "vraie" vie).



(Grosses perruques)


Au début, j'ai trouvé ça fascinant et flatteur de voir que le siècle de perruque était rentré profond de même dans la tête sub-consciente de quelqu'un du 21ième.

Maintenant, je trouve ça juste normal, puisque c'est le signe comme quoi je suis la future reine, épouse et femme fatale du Prince Akeem de Zamunda.

Prémonition, point à la ligne.

mercredi 24 novembre 2010

La grenouille, la baleine, la tuque et la perruque

Aujourd'hui, je me suis faite prendre pour Fanny Lauzier à la caisse d'un fast-food crade.


……………..



C'est vraiment chien.

mardi 23 novembre 2010

Les agents de bord du futur, point d'interrogation?


Moi, en tant que passagère, j'exigerais que la chorégraphie dure le temps d'un vol complet, question de tester leur souffle.

En tant qu'employée, j'exigerais qu'on change de toune (j'y verrais bien une chanson tirée de l'album à succès Dance Mix 94), mais surtout, qu'on cesse la discrimination des genres et qu'on invite des gars pour performer des lifts dans les airs.

Pis toi, qu'est-ce que t'en penses?

Pis qu'est-ce que tu penses de la sécurité dans les aéroports au 20ième siècle, donc, dans le passé mythique?




C'est bien ce que je pensais…..

lundi 22 novembre 2010

Le meilleur titre pour une exposition muséale…EVER! (AJOUT)




Ajout musical:



Pour aller avec les lumières qui commencent à scintiller sur les abris-tempos



Tout le monde en choeur à go… on ouvre les oreilles et on se prépare à accueillir le Jésus, qui en est à son 8ième mois de grossesse indirecte.



Merci à un informateur vraiment louche pour cette trouvaille féérique.


vendredi 19 novembre 2010

Je fouette mes cheveux en va et vient (?)





J'aime bien cette madame-là, juste là là, en bas, ainsi que l'analyse qu'elle fait de la chanson Whip my Hair de la fille de Will Smith………..


Merci à Iris pour le lien, et de m'informer du fait que "Willow" existe.


Vous pouvez voir la vidéo originale ici, messemble que j'ai pas besoin de vous dire ça…c't'évident puisque c'est juste icitte en bas de ce mot :

Pénible Pollock.

jeudi 18 novembre 2010

Another century of fakers \ entr'acte de type petit spectacle


Ceci est une de mes chansons préférées des 10 dernières années, dédiée à tous les faux-culs qui me donnent personnellement mal au coeur. I'm sure you know who you are, deep down, unless you're just desperately dumber than I thought.


Ingrédients à karaoké:
There are people going hungry far awayThey’ve got nothing on their platesAnd you’re filling your fat face with every different kind of cakeAnd if you ever go lardy, or go lameI will drop you straight awayThat’s the chance you have to takeFor every stupid thing you sayThere are people going lonely, and they’ll stayLonely fay into the yearBecause you’re making blinkers fashionableAnd fashionably you’ll sayAll is equal in love and war andI’m sorry, but I’ve got some things to doAnd you pretend to read a book you’ll never finish till the dayThat the author dedicates itTo a century of fakersThey took your mould and they burned it on the fire in history todayYeah, the author dedicates itTo a century of fakersHe was an anarchist, he tried his best but it wasn’t good enoughDid I say I would see you soon? Well I’m sorry, but I just came off my bikeAnd my face is scarredAnd chance has barred me seeing you tonightI was over the other side of the cityAnd if the truth be known I’d sayThat you look great from there before you shaved your golden hair todayEverybody’s trying to make usAnother century of fakersThey took you mould and burned it on the fire of history todayEverybody’s trying to make usAnother cool decade of fakersAnother century of fakers

Ode à la tuque (et aux gilets)

Moé, mon genre d'homme, c'est l'ami de Tal Bonjour d'Albert.


C'est tout.




Ah non, c'est pas vrai... Il y a quelque chose d'autre…


C'tu moi, ou à l'époque du rose et vert fluo, Manuel Hurtubise donnait l'adresse des enfants qui participaient à ses concours cheap? Bonne façon de se faire voler sa magnifique distributrice à gomme balloune via entrée par effraction, en plus de se faire séquestrer par un gros loser pédo qui passe ses matinées de weekend à écouter En Transit pour apprendre à épiler ses sourcils comme Manuel. (Dernier commentaire = vraiment anachronique, car comme on peut le voir, il n'avait pas encore appris à le faire.)

Là, c'est tout (prononcé toute).

mercredi 17 novembre 2010

La moppe pourrissante versus la brocheuse microphonique: ce que contient mon monde intérieur.



Moi quand j'écoute cet extrait de Six Feet Under, ça me fait brailler comme une vieille moppe avec la tête en haut qui dégouline son eau grise crasseuse sur le plancher tout blanc.




Fak la minute d'après, je m'arrange pour regarder cet extrait-là, afin de me sentir à nouveau comme moi-même via une autre personne.


Le 22ième siècle est définitivement 6 pieds au-dessus de la terre. (Simplement à cause de la marée de déchets qui créé une méga batch de sédiments. Autrement dit, dans le futur: plus besoin de talons-hauts.)

J'suis pas mal certaine d'être la seule au monde à avoir pensé à ça aujourd'hui. Garantie ou pensée remise.

mardi 16 novembre 2010

Le rap du Fardoche en vous

On peut affirmer qu'une société spatio-temporelle est fascinante quand on trouve une chanson rap à son sujet dans les archives mondiales. Mieux encore: un rap for elle by elle. (À noter qu'aucune autre condition n'est un facteur engendreur de fascination, aucune.)

C'est pourquoi il est présentement plutôt émerveillant de visionner une créature nouvellement emménagée sur la ligne du temps: le rap de Farmville.

Vous aussi, vous vous ferez aller la tête de haut en bas.
Malgré vous…peut-être même... malgré un torticolis.

Que le siècle qui vient avant le 22ième soit avec vous.

lundi 15 novembre 2010

Le popcorn au micro-onde est poison\ voilà une bien belle tragédie



Le popcorn des temps modernes cuit sous les rayons micro-ondesques nous tue à petit feu…c'est ce qu'on apprend aujourd'hui dans les journaux. Hélas.

Est-ce que le beurre jaune orange qu'on y ajoute au cinéma n'est pas pire?


C'est sûrement ce que dirait Shakespeare
(s'il ne s'en caliçait pas.)

(WWWWWWWOOOOOOOOOOOWWWWWWWWW ça relativise la beauté de mon entourage de boite de Kleenex)

Citation pas rapport en complément:

Macbeth:
To-morrow, and to-morrow, and to-morrow,
Creeps in this petty pace from day to day,
To the last syllable of recorded time;
And all our yesterdays have lighted fools
The way to dusty death. Out, out, brief candle!
Life's but a walking shadow, a poor player,
That struts and frets his hour upon the stage,
And then is heard no more. It is a tale
Told by an idiot, full of sound and fury,
Signifying nothing.

Macbeth Act 5, scene 5, 19–28

samedi 13 novembre 2010

Le pire que Shakespeare



L'autre jour, je rencontrais une madame dans un genre de centre de conditionnement pour une évalution de ma pochitude sportive, qui me posait des questions sur mes habitudes de vie. Elle me demande, de même, si je fais de la lecture. Je lui dit qu'entant que fille qui a une maîtrise en littérature, ça m'arrive. Je lui dis que je viens d'ailleurs de rassembler la plupart des mes livres de Shakespeare dans le but de m'y replonger avec une certaine nostalgie.

La madame, elle part à rire. Ça te tente pas d'essayer des lectures plus légères que Wils Shaksp…Comment tu dis son nom déjà !!?!?

William Shakespeare. Euh, non, ça ne me tente pas.

Tu fais jamais des lectures faciles?

Euh, oui, je gosse souvent sur Cyberpresse pis je lis les statuts Facebook de mes soi-disant amis.

Un beau livre là….soutien-gorge et je sais pas quoi, des lectures de filles, ça te tente pas?

Hmm… Ça ne me tente pas, non, mais pour ne pas créer de malaise je vais juste réagir en souriant pis en disant une genre de non-réponse qui me donne l'option de ne pas lui dire mon opinion sur la chose.



Fak en sortant de là, j'ai comme eu une série de flash. Des titres à suggérer aux Raphaëlle Germain et autres imitations de Bridget Jones de ce monde.

En voici quelques-unes qui m'ont fortement inspirées.

Bobettes de coton et lipsil aux cerises.

Sacoche en faux serpent et bottes de prostiputes.

Chemise transparente et motte de mascara dans le coin d'l'oeil.

Bas de nylon et toupet en permanente.

Spray net et brassière avec des straps trop grandes.

Gaine pour la bédaine et teinture de Louise-Josée Mondoux.

Faux ongles, talons aiguilles et parfum qui sent le tabarnaque.

Déodorant pour pieds et porte-jartelles qui ne tient pas.

Coupe-ongles, Tampax et margaritas sur table de chevet.

L'animatrice de Call-TV s'en va magasiner dans le Bronx.

Amours, télévision et Q-Tips dans l'oreille

Gant de crin et Cosmopolitans

Parfum gratuit sur page de revue et mèches mauves.

Botox, silicone et comfort food.

Pince à sourcils et mousse de nombril.

Pyjama en flanelle et string de cuir.

Amants secrets, paupières poudrées et réactions cutanées.


Juste à voir le titre de mes livres, j'me dis que j'ai pas besoin de les lire ou les écrire pour avoir du plaisir, je n'ai qu'à les nommer.

vendredi 12 novembre 2010

La droite comme on l'aime

Je ne crois pas qu'on puisse ajouter quelque chose, sinon que je suis morte de jalousie envers le génie des Belges.


À quand les petits hors-d'oeuvres dans nos rues?

jeudi 11 novembre 2010

Mon entourage

Puisqu'on est supposés traverser la frontière entre le passé et le futur ensemble, je trouve qu'on est rendus pas mal intimes dans nos relations, lecteurs.


Alors j'ai décidé de te\vous présenter une figure très importante dans mon entourage, avec toute l'émotion que ça implique que de se mettre à nu spirituellement de la sorte devant les interwebs. À vrai dire, si ce personnage n'était pas dans mon cercle intime, je crois que je n'aurais pas la même vision du Monde au quotidien. Il fait de moi la personne extraordinairement unique que je suis. Je n'irais pas jusqu'à dire que je ne serais rien sans lui, mais plutôt je ne possèderais pas autant de choses sans lui.




Je vous présente donc, mon entourage de boite de Kleenex.





Figure A




Figure B



Figure non-identifiée


Pratique, utile, fonctionnel, brun. Plein de qualité normalement recherchées par les spécialistes.

Mais nous, ce qui nous touche le plus dans tout ça, c'est qu'il soit si coquet.

Vraiment, on ne souhaiterait pas avoir mieux dans nos vies, ma tuque, ma perruque, pis moé.

mardi 9 novembre 2010

Ma checklist du jour d'aujourd'hui



CHECKLIST

Se faire un Bloody Caesar à la maison pour célébrer la nostalgie de l'année 1991 en compagnie de sa version ancestrale des Cosmopolitans pour les pauvres : check.

Se poker une branche de céleri dans l'oeil en buvant notre ode rouge-liquide en l'honneur de 1991: check.

L'écrire sur Facebook : check

Relayer cette information cruciale, de mon Facebook jusqu'à mon blogue: check.



(Avoir hâte d'apprendre quelles seront mes tâches demain, mais surtout hâte de TOUT vous dire à ce sujet. (double check) )



(Le semblant d'oeil de verre de Jules s'explique donc, quoi que ses cheveux de marbre restent encore à ce jour un mystère.)

lundi 8 novembre 2010

R.I.P. D.A.



En pensant à tout et rien, en anglais, en dessous de ma perruque-tuque, entre hier et aujourd'hui, j'en suis venue à la conclusion que :

-when you're an asshole and you die, you remain a dead asshole for ever.-



Depuis, j'ai plein de révélations unilingues anglaises sous formes d'odes aux dead assholes.

Voici un mini échantillon de mon palmarès de la dernière heure.

1-

Cette scène classique devrait être remplacée par : Bring out your dead assholes.

2- "My son is working so hard to become the dead asshole he one day deserves to be."

3- "Many years of experience lead him to become an acclaimed dead asshole. "

4- That dead asshole helped to train a countless number of young dead-assholes in the becoming."

5- "This terrible fatal accident, at last, immortalized this dead asshole. "

6- "Mommy, I'm afraid of walking-dead assholes. "



J'trouve que c'est une belle façon de redonner aux dead assholes le prestige qu'ils méritent, dans l'après-vie.


Bonne nouvelle



Je ne suis pas la seule à faire des pathétiques fautes d'orthographe\ d'inattention.



La Presse a-t-elle aussi un trouble du déficit d'attention? Ça expliquerait l'embauche accidentelle de certains cancres du 2e âge depuis les 20 dernières années.

dimanche 7 novembre 2010

Quand mille photos valent une pub

La nostalgie, ça s'achète.


Mais le fait est que c'est si beau. Ce qui garantie qu'un jour, aujourd'hui sera le hier de demain, et qu'on voudra le consommer à nouveau, et ce même si maintenant est, dans les faits, une vieille cochonnerie.

On s'en reparle dans 90 ans.

samedi 6 novembre 2010

Réjean Ducharme n'aurait pas dit mieux





HAHAHAHAHAHAHAHAHAAAAA !!!!!!!!!!!

Je viens de lire ceci sur le profil d'un ami Facebook. (Merci Mister Champagne)

Essayez ça:

‎1 - Allez sur google Maps!
2- Allez sur Obtenir les indications
3- Japon comme destination de départ
4- USA comme arrivée …
5- Lisez le numéro 27






Profession: Correspondante aux étrangers





Dans la vie, je suis une personne qui aime rejoindre l'autre, de préférence, au pluriel.

Alors j'ai un jour découvert que quand on sait écrire, on peut écrire. Aussi simple que ça.

Je pense que la première fois que j'ai correspondu avec quelqu'un qui s'en calice, c'était lorsque j'avais environ 6 ou 7 ans.

Dans ma ville d'enfance, il y avait un grand terrain vague en forme de creux, que moi et mes amis appelions affectueusement: le trou.

Un jour, la ville a voulu fermer le trou, et nous empêcher d'aller voir s'il y avait vraiment des ninja turtles qui vivaient dans la cage à égouts du trou. Nous en étions offusqués, sans savoir encore dire le mot.

Alors j'ai pris une grosse feuille de mon cahier scrapbook gigantesque, et avec un crayon de cire, j'ai écrit au maire: SVP Monsieur le Maire, ne fermez pas notre trou. On aime ça jouer dedans. Signé: Perruque.

Ça a l'air hilarant rendu au 22ième siècle, mais à la fin des années 80 je prenais la chose très aux sérieux. Malheureusement, puisque je n'avais pas compris le principe du timbre, le maire n'a jamais reçu ma missive, mais heureusement, ils n'ont pas fermé notre trou, ils l'ont juste clôturé. C'est maintenant un parc à chien, ce trou.

Ensuite de ça, il y a eu un petit acteur prodige dans une série américaine de type les mystères du monde sous-marin qui jouait en version française l'été, à qui j'ai voulu écrire, vers la fin de l'enfance, début de l'adolescence.

Aucune idée de son nom au petit pit, mais je lui avait écrit une grosse lettre de l'enfer, usant de mes premiers mots en anglais méticuleusement trouvés dans le dictionnaire en l'occasion, pour décrire ma vie fabuleuse de fille de 12 ans. J'imagine vraiment la tête du gars quand ont lui a dit: Hey buddy, you've got fan mail!

"Dear Mister Chose. Hi, I love you. Me write from the ville du trou, to say I'm loving you. I have one dog and two parents, and one tall brother. I like musique and pizza. Here is my addresse to write back to me. I love you because you are so cool and beautiful. Your fan, Perruque"

Pauvre gars. Il a dû être déçu, ou bedon crampé.

Vers 15-16 ans j'ai écris un email à Anne-Marie Losique pour lui dire qu'elle aurait l'air moins conne si elle arrêtait de se dandiner comme une guidoune. Elle m'a répondu pour me dire que j'étais une frustrée sexuelle qui faisait des fautes d'orthographe, mais elle s'est fermée la yeule en apprenant que j'étais une mineure ayant la moitié de son âge. Cette fois-là, c'est moi qui étais crampée de voir comment elle était frue et que je l'avais cassée malgré mon secondaire 4.

La liste se continue jusqu'à ce jour. Vous avez juste pas idée. Ou peut-être que si.

J'écris au monde, comme si j'avais vraiment quelque chose à dire. C'est vraiment fascinant quand on y pense. Quoi que complètement inutile.

Je sais pas si je m'ennuie trop dans la vie ou si au contraire, je ne m'ennuie pas du tout.

Chose certaine, c'est plus fort que moi. (Mais c'est moins forts qu'eux, dirait Georges Dor.)

Je dédie donc cette chanson à toutes les victimes de mon impulsivité littéraire, qui au fond, sont presque chanceux de se faire divertir gratis de même.


Après tout, je corresponds constamment à l'étranger. Pas nécessairement "avec" lui. L'étranger, lui, doit trouver ça étrange. Mais il faut bien sauver le trou. Sinon, où allons nous jouer?

jeudi 4 novembre 2010

La censure au 21ième



Ça aurait l'air qu'il est interdit sur les blogues de Cyberpresse d'utliser le mot PUTE-ÉTHIQUE en tant que substitue contextuel du mot pathétique.


Puisque je suis 22ième siècle, moi je vais vous permettre de le faire. Parce que quand c'est dans le dictionnaire, c'est utilisable, puisque Robert et Larousse l'ont eux-mêmes fait avant nous, et dieu sait qu'ils sont paternalistes ces deux conservateurs de type boules-à-mites là.


mercredi 3 novembre 2010

Pour en finir avec les anglicismes



Il est intéressant de noter que la plupart des gens qui vont un jour vous corriger d'avoir utilisé un soi-disant terrible anglicisme sont souvent les candidats les plus susceptibles de vous shooter une phrase random en latin.


Le latinisme, lui, on ne le craint pas? Parler la langue des morts, c'est un peu comme d'être un fan des Nordiques en 1999, mais en pire. À moins d'être Indiana Jones, là ça devient un peu séduisant en plus d'être concrètement utile et pas du tout snob que de connaître cette langue en tant qu'outil historique.



J'aimerais conclure cette idée en vous rappelant que 40% de l'anglais est d'origine francophone du temps de Guillaume le supposé Conquérant. Alors, je vous le demande, faisons-nous des gallicismes lorsque nous faisons des anglicismes?

La réponse est: peut-être bien.

Cela étant dit, ce qui compte le plus pour moi chez mes interlocuteurs, c'est qu'ils aient des choses à dire, et qu'ils le disent d'une manière stimulante pour la langue de mon cerveau.

Autrement, ils peuvent communiquer comme un Béscherelle, ils n'ont pas une place de choix dans mes dialogues idéaux.

La pureté, c'est mal. Le respect du message, c'est beaucoup mieux.

Il me semble qu'on peut en venir à un consensus entre les deux et continuer de devenir des êtres humains dignes de la civilisation actuelle. Messemble…


mardi 2 novembre 2010

Mon heure préférée



Moi, quand il arrive 22 heures le soir, j'me peux juste plus!

J'suis tellement joyeuse, ça me donne le goût de faire danser les deux 2 ensemble, le temps d'une chanson.


Fak j'ai présentement deux petits 2 découpés en cartons entre les mains de ma tête imaginative, et que le spectacle commence.


Musique!


C'est beau, l'amour du temps.

lundi 1 novembre 2010

J'ai du style, et toi? (Ajout)

Beaucoup de style, mais je possède plus encore de beaux linges (au pluriel)


Side A

Side B

Pis toi, qu'est-ce que tu portes sous ta perruque en guise de tuque?

AJOUT: Les fins observateurs remarqueront que je ne repasse pas mes chandails de trucker.