La perruque de T.S. Eliot, et plus encore

Quel est le meilleur poème de tous les temps?

(Wow vous avez vraiment des questions de Geeks!)

Je ne sais pas quoi vous répondre, prise de surprise.

Chose certaine, The Love Song of Alfred J. Prufrock, de T.S. Eliot, est mon préféré, même si je ne comprends que dalle rien à l'extrait de Dante en italique italien latin, qui débute le poème sur papier. J'en fais donc abstraction 99% du temps.

(À lire ici en version web en mangeant du pop corn en portant des lunettes 3d trouvables dans une vieille boite de Cheerios du fond du garde-manger de votre bunker anti-radioactivité, si disponibles. Mieux encore, allez l'acheter bande d'incultes! Vous manquerez par contre la divine publicité anti-débaine sur la colonne droite du site, tant pis.)

En faisant toutes ces exhaustives recherches web afin de vous dénicher le lien ci-haut, je suis tombé sur un chef-d'oeuvre d'hommage à ce classique moderne.

Je pense que la moustache de ce gars mérite amplement qu'on publie sa lecture audio-visuelle de ce poème grandiose, même si c'est tellement superficiel comme critère de sélection, au fond.

Autrement, il a un beau débit de parlure, il faut lui donner ça, en plus de son sens de la pilosité, selon nous, un peu extravagant.

Beau morceau de viande a priori, ce fantôme littéraire! J'ai toujours eu du mal à imaginer TS Eliot à la plage, accompagné de ses pantalons turn-ups et de son jersey protège- épaules, parlant aux sirènes de sa calvitie envahissante...Pourtant j'essaie souvent.

Et puis pour compenser le momentum de la saison, en extra, voici un copier-coller de l'adéquat décollage du fameux Wasteland d'Eliot, en guise de promotion passéiste éternellement valide:

APRIL is the cruellest month, breeding
Lilacs out of the dead land, mixing
Memory and desire, stirring
Dull roots with spring rain. Si vous n'aimez pas la poésie et\ou l'anglais, je suis désolée pour vous...