Mais qu'est-ce qui se passe dans le monde, pour que seulement moi se rende compte des problèmes ambiants? (Vous allez être surpris, mais je ne dis pas le dixième des choses que j'ai vraiment à dire parce qu'elles sont trop taboues pour l'instant. True story.)
Donc…voyager. C'est le fun. Lire La Presse, c'est pas si pire, c'est presque agréable même.
Mais il ne faut pas mêler ces deux univers, jamais, ou du moins, pas avec les Clark Kent du tourisme que vous détenez en votre possession dans votre banque de ressources sans fond chez Gesca.
Étant déjà allée chez les Suédois, j'ai découvert dans leurs musées l'univers fascinant des Vikings. Est-ce à cause d'eux que j'ai les cheveux ni blonds ni roux mais un peu des deux? Sûrement, bande de criss... C'est peut-être aussi grâce à eux que j'ai une perruque dedans ma tête, qui sait. Peu importe. UNE CHOSE est certaine: ce n'est pas dans la série "d'articles" publiés à ce sujet dans le quotidien qu'on va en apprendre plus sur le code génétique des mes pointes fourchues, ou autres information d'importance.
Ce spécial Viking ne compte pas moins que 6 "articles" (22-6=16) contenant chacun un maximum d'une information et demie pour un grand total d'un immense néant pour l'intelligence humaine.
C'est le pire teaser de lecture jamais offert sur le continent Américain, probablement dans la Voie Lactée, peut-être même incluant l'univers des acariens...
En plus, ce n'est rien de moins qu'une infopub (avec un minimum d'info) puisque les déplacements inutiles de la journalistes ont été couverts par….le site touristique de 2 mètres carrés de qui elle parle dans son non-dire.
Honnêtement, Marie Tison, j'ai déjà lu des menus de restaurants plus pertinents que ça. Jonas inclu.
C'est comme si le but de ces "articles" nains était d'apprendre l'Existence des Vikings, de leur faire du name-dropping quoi. Est-ce une stratégie subconsciente pour créer dans l'inconscient collectif un désir de faire porter un casque avec des cornes, un peu comme celui ou celle qui a empoisonné notre goût en créant la mode "tout doit être zébré"? On dirait… mais en même temps, on dirait aussi fuck-all rien du tout. Quel dilemme pour mon jugement sans pitié ce marketing du passé sans trace…
Le seul mot en stock dans mon flaberghastage est: H(hhhhhhhhhhhhh)onte.
Moi tant qu'un article ne m'annonce pas que Pauline Marois est en fait une chef viking parachutée dans notre ère, je ne le crois pas.
RépondreSupprimerEn termes de néo-vikingisme, c'est la pépite d'or sur le sundae.
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