Sérieusement…j'ai du mal à en croire mes yeux vu, excluant le fait que mon toupet est rendu trop long.
Qu'est-ce que l'interweb de l'information ne nous apprend pas ce matin? (Je ne sais pas vraiment pourquoi je n'ai pas plutôt dit: "qu'est-ce que nous apprend" -- le français étant une langue que je ne parle malheureusement pas--)
(...Intermède musical...)
Ce qu'il nous apprend (pas), l'internet, donc, est ceci:
Alice au pays des merveilles, publié en 1865, avait été amputé d'un chapitre entier, l'illustrateur refusant de dessiner la «mouche à perruque» qui en était l'héroïne, née de l'imagination fertile de Lewis Carroll, révèle une lettre mise aux enchères jeudi à Londres.
(…) «Ne me considérez pas comme brutal mais je suis obligé de dire que le chapitre sur la mouche ne m'intéresse pas le moins du monde et... je ne me vois pas en tirer une illustration», écrivait Sir John Tenniel, l'illustrateur du livre.
La «mouche à perruque» n'a ainsi jamais pris son envol. «Qu'on lui coupe la tête», aurait probablement dit comme à l'accoutumée la Reine de Coeur, la souveraine acariâtre que rencontre Alice.
C'est par des hasards de l'actualité comme celui-là qu'on réalise vraiment "l'importance" de cette "mission" qu'est le port de la perruque en tant que tuque, preuve inébranlable de l'achèvement de l'évolution darwinienne méta-vestimentaire.
(PS: Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai une de ces rages gourmandes pour des egg rolls depuis 2 jours.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Le 22ième siècle vous remercie de votre présence, et espère que vous passez un agréable moment en compagnie de votre perruque.