Comme c'est de connivence avec notre fétichisme!
À ne pas confondre avec l'expression plus fréquente "la perruque en post-it d'épouvantail"!
Mais qu'est-ce que ce hobby?
D'après Wiki:
Le travail en perruque peut aussi s'appeler, d'après Étienne de Banville[5], « travail en sous-sol », « travail de la main gauche », « travail en douce », « travail masqué ». Cette dernière expression est distincte du « travailler en temps masqué », qui se réfère à une opération de fabrication réalisée en parallèle d'une autre opération, et dans un temps inférieur ou égal à celle-ci.
Certaines régions emploie un autre terme à la place de perruque : « bricole » à Nantes et à Montbéliard, « casquette » à Tulle, « pinaille » à Sochaux-Montbéliard, etc. ("Tuque"?!)
Comme tout ça m'engage dans un imaginaire d'agent secret épique et obscure! Terriblement alpha-malfrat, mais nécessaire entre deux de ces tournées méditatives de bigoudis qui frisent notre toupet en formes de 22 qui nous affairent professionnellement, à temps double, sur appel.
La question piège: Est-ce que quand Normand Brathwaite plogue sa fille insupportable dans ses shows quétaines, c'est du travail en perruque en plus d'être du sabotage?
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Le 22ième siècle vous remercie de votre présence, et espère que vous passez un agréable moment en compagnie de votre perruque.