lundi 20 décembre 2010

Le coût de l'électricité ne sera jamais trop cher



…et ce, tant que l'est de la Ville de Montréal sera peuplée de balcons intersidéraux et de Pères Noël chevauchant des fils électriques.



À moins que les pauvres ne se planifient un budget "électricité à gaspiller" une fois l'an.

J'ai pour mon dire (j'ai toujours rêvé de dire ça) que serait là la preuve d'une excellente gestion des finances personnelles de chacun, mais je doute que ce soit réellement le cas. Donc, tout ceux qui ont des reines au nez rouge pas de nez rouge sur le balcon de leur 3 et demi, vous venez de perdre votre véto de chiâlage contre Hydro pour 2011. Accueillir Santa Claus, Chevy Chase ou le fantôme de John Candy n'est pas un service de base.


Soit dit en passant d'une manière pas rapport, je ne me prononce pas encore sur l'avenir de ce blogue d'avenir…

Si je le faisais disparaître, les Sophie Durocher de ce monde se diraient entre-elles: Quelle bonne nouvelle, une anonyme en moins! (Alors que mon putain de nom est l'une des premières infos à recueillir sur ce site.)


Non non. Je dois juste retrouver en moi la Force du ridicule suprême que contiennent mes cellules souches.

Je suis juste un peu frue. Dans le sens que plus qu'un peu, mais de pas assez frue pour être qualifiée de frustrée. Le "trée" vient vraiment très loin dans le processus de la frustration. Capiche?

Je n'ai quand même pas cessé de croire au 22ième siècle, ni au pouvoir de la sainte perruque.

Honnêtement, il faudrait être cave en tabarnaque pour cesser de croire à ça.

7 commentaires:

  1. Tuque.

    Ne vois tu pas que:

    Chaque grain de neige qui atterrit sur ta tuque perruquée t'élève de plus en plus vers un nirvana de connaissances cosmiques?

    Que chaque flocon unique descendant du ciel te remplit de sagesse non encore partagée?

    Que les nuits froides et mystérieuses de notre hiver te pousses encore à croire à de magnifiques promesses?

    Que la sloche brune et salée recouvre en fait des chemins pavés de bonheur?

    Ne tue pas ton blogue. Ce n'est qu'une passade.

    A plusse.

    PS(Petit Sapin): Moi aussi j'ai le blues des fêtes...

    Jean Qui Ne Se Mêle Pas De Ses Affaires Lemay

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  2. Quelle sagesse!
    J'ose croire que Jean, il flash pas ses lumières pour rien, lui.

    Poète du frette, merci de tes paroles météorologiques.

    PS: (Poil saugrenu) Que la charrue soit avec toi.

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  3. Chère Tuque,

    ce serait bien triste que tu nous prives de tes si justes observations. Et de ton sens de l'absurde si succulent. Mais bon, je sais que ces réflexions me sont venues aussi quelques fois et l'univers "bloguesque" et virtuel devient pas mal fatiguant parfois...

    Ouan.

    PS (postérieur surdimensionné - après les fêtes tsé c'est lourd d'la tourtière pis toute):

    M'as m'ennuyer si tu fermes le seul et unique blogue qui nous indique ce que sera l'avenir du 22ème siècle!

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  4. Moi, je rends hommage à tous les mercenaires du commentaire écrit qui me font rire bien souvent et réfléchir occasionnellement.

    PS (Pauvre Santa): Que la Tuque passe de Joyeuses Fêtes en dépit de tout. Pour ton spleen, je te suggère de visualiser la neige et les sapins qui se transubstituent en sable et en palmiers remplis de noiix de cocos.

    Affectueusement

    Un autre ti-coune

    Judas Présumé, ton ami.

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  5. PS: (poses sears)

    Afin de commémorer votre dévouement pour le futur, vous serez tous un jour sur le Wall of Fame du 22ième siècle, qui se trouvera probablement dans un obscure Hard Rock Café loin de chez-vous.

    Ça va être tellement chou.

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  6. Est-ce qu'on peut envoyer des images, car tu pourrais apprécier celle de mon chat avec une perruque "padée"?

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  7. As-tu un transducteur du futur imparfait pour se genre d'échange de fichiers?

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Le 22ième siècle vous remercie de votre présence, et espère que vous passez un agréable moment en compagnie de votre perruque.