Wow! La valeureuse coloc nous apprenait cet après-midi l'existence de cette nouvelle stratégie publicitaire du dénommé "Lait", qui consiste à habiller les abribus en tite-laine pour l'hiver. Brilliant!
Excepté qu'ils ont trouvé le mauvais accessoire, puisque tout le monde sait que la meilleure source de "réconfort" hivernal urbain n'est non pas la tuque, mais bien la perruque.
Que faut-il de plus pour saisir et humer dans son ampleur l'essence de bien-être qui aromatise les poils synthétiques, mais aussi naturels, de la perruque?
Comme le disaient les Mayas: It's as easy as it's gonna get.
Ajout de Mon'oncle Freud: "Bel exemple de (ré)confort phallique."
Je ne sais pas si Clotaire Rapaille aurait fait mieux...
La vraie question est la suivante: vous, faites-vous partie de la tribu de la perruque?
Chère Perrucca Fanatiker,
RépondreSupprimerEn effet, hilarant concept. Je suis passé devant un, hier sur Sherbrooke, je l'ai vu. J'ai aimé, mais je n'avais pas fait le lien...
Je suis définitivement dans la tribu "tuque", pour des raisons de "vélo-des-neiges". Une perruque, ça rentre mal sous un casque.
De plus, je ne suis pas enclin à porter n'importe quelle perruque, de peur de donner des arguments aux mauvaises langues qui tentent de propager la rumeur voulant que je sois gay... ;)
Phalliquement votre,
Perruque Montebono
Cher Montebono de la Perruque,
RépondreSupprimerJ'ai résolution à votre problème d'ingénierie roulante qui vous cause des limites d'ouverture anthropologique envers la bonne tribu.
C'est qu'il faut porter la perruque... *par-dessus* le casque!
Aussi simple que ça: As easy as it's gonna get!
Cordialement en contradiction objective avec votre rejet de notre tribu rejetée,
Votre amie quand même,
Ma Tuque est une perruque