Jamais trop tard pour croire en la fée des perruques

Pour en finir avec l'Halloween.

Mis à part le fait intrusif de s'être faite fouillée la mise en plis de style origami soigneusement engouffrée dans le dépotoir de souvenirs d'un sac-à-dos par des agents en recherche de création de taxes nouvelles sur le libre-échange de perruques personnelles, pour aucune raison autre que l'ennui des douaniers un jour de semaine touristiquement anémique; le voyage d'une postiche du futur à New York fut fort inspirant pour le cuire chevelu de la mémoire.

Un petit conte de fée-perruquée, équivalant aux Ninja Turtles dans la jungle de la pizza. Quoi que, déception de voir que la Grosse Perruque Pomme contenait très peu de magasins spécialisés en la matière, nous sommes maintenant certains (par nous je pense 22ième siècle) que la perruque lives on (ici on dirait plutôt qu'elle survie?!) dans l'imaginaire collectif des Yankees.

New 22ième York

Le bon goût cueillie directement de la nature de la fibre synthétique. De plus en plus à la mode.