Evelyne, une des "vraies" animatrices de la meilleure pire émission de fin se soirée.
...pour camps spéciaux?
Je dis ceci sans mépris pour les gens des camps spéciaux, mais je ne peux en dire autant de la fameuse "3ième animatrice de Call-TV" (son charme en sons et images), qui, par son style unique, révolutionne notre tolérance collective à se faire infantiliser (vidéo 18 ans et plus!) via le petit (ou grand) écran (plasma).
On est tous déjà tombés sur une émission de télé pour enfants (lien vers 3 singes aimés des jeunes) en milieu d'après-midi en voulant jouer avec la manette télé pour fuir les feuilletons savonneux pour ménagères. Le constat: aussi insupportables les uns comme les autres, ces programmes de remplissage horaire. Cette débilité à outrance est souvent tellement amusante et hors de ce monde, que ça devient un peu blasant à regarder, quoi qu'en rire est apprécié en tout temps... Mais la 3e animatrice de Call-TV, elle, est un exemple de juste milieu de fatigantisme télévisuel bien modéré. Ce je-ne-sais-quoi de différent s'explique possiblement par son grand don "naturel" de simplicité, en exemple ici. La mesure exacte, quoi, pour avoir un peu soif des subtiles moments de sublime télé qu'elle nous offre en toute innocence.
Loin de moi et de ma tuque qui est une perruque l'idée de vouloir lui enlever quoi que ce soit, puisque nous la trouvons nettement plus intéressante que ses deux jeunes collègues "vraies animatrices" de (apprenti) métier! Je remercie les frères Rémillard d'avoir embauché les gens qui ont embauché les gens qui l'ont shippée à destination de Vienne, en juin. Comme quoi l'émission ne cesse de nous apporter de (décevantes) généreuses surprises.
Voici ma théorie sur son embauche. Les deux vraies animatrices qui étaient en onde à l'époque 90 minutes par jour, 3 jours par semaine chacune, sont exploitées. Elles ne sont pas vraiment payées, autrement que l'hébergement dans ce minable taudis meublé avec toilettes turques (et bidet) dans le ghetto de Vienne qu'elles partagent sur le bras de la production. Elles doivent donc, en parallèle, faire du travail Au Pair pour gagner de l'argent de poche. Choquées de se faire payer un séjour à l'étranger qui n'est pas un bar open über-resort, les deux jeunes femmes décident donc de faire pression via courriel à TQS pour avoir de meilleures conditions de travail, sous menaces de ne plus faire le compte à rebours "3-2-1, j'ouvre les lignes" et donc de saboter tout le concept de l'émission.
S'en suit donc l'embauche de dernière minute de la seule autre candidate qui s'était présentée à l'audition d'une lugubre agence d'infopubs au printemps. Malgré son manque d'expérience et de crédibilité, la jeune championne débute nerveusement sa carrière de meneuse de claques pour joueurs compulsifs, dans une émission de conditionnement préparatoire pour Télé-Voyance qui jouera en boucle plus tard. Bien que la catastrophe télé soit évidente dès les premières minutes, les producteurs sont étonnés: les cotes d'écoute explosent d'un bon sur leur radar à public. (N'écoutez pas les BBM, les cotes d'écoutes sont tellement importantes, qu'elles sont retransmises en direct aux dirigeants de chaînes télé, reliés tels un patient malade et son soluté).
Les nocturnes du Québec, assoiffés de mauvaise télé, ont fait la preuve du phénomène de l'impact des réseaux sociaux sur la publicité. En un jour, la "remplaçante" des deux
animatrices officielles était promue à travailler le même nombre de jours que ses nouvelles amies de voyage: deux jours. (C'est pour alléger leurs tâches qu'elles ont aussi des semaines de vacances en rotation durant leurs contrats de trois mois).
Vous avez une autre explication pour son embauche, vous?
Je veux dire....soyons curieux un peu là. Intéressons-nous au monde qui entoure notre cuire chevelu, en ne faisant pas abstraction des pellicules.
...pour camps spéciaux?
Je dis ceci sans mépris pour les gens des camps spéciaux, mais je ne peux en dire autant de la fameuse "3ième animatrice de Call-TV" (son charme en sons et images), qui, par son style unique, révolutionne notre tolérance collective à se faire infantiliser (vidéo 18 ans et plus!) via le petit (ou grand) écran (plasma).
On est tous déjà tombés sur une émission de télé pour enfants (lien vers 3 singes aimés des jeunes) en milieu d'après-midi en voulant jouer avec la manette télé pour fuir les feuilletons savonneux pour ménagères. Le constat: aussi insupportables les uns comme les autres, ces programmes de remplissage horaire. Cette débilité à outrance est souvent tellement amusante et hors de ce monde, que ça devient un peu blasant à regarder, quoi qu'en rire est apprécié en tout temps... Mais la 3e animatrice de Call-TV, elle, est un exemple de juste milieu de fatigantisme télévisuel bien modéré. Ce je-ne-sais-quoi de différent s'explique possiblement par son grand don "naturel" de simplicité, en exemple ici. La mesure exacte, quoi, pour avoir un peu soif des subtiles moments de sublime télé qu'elle nous offre en toute innocence.
Loin de moi et de ma tuque qui est une perruque l'idée de vouloir lui enlever quoi que ce soit, puisque nous la trouvons nettement plus intéressante que ses deux jeunes collègues "vraies animatrices" de (apprenti) métier! Je remercie les frères Rémillard d'avoir embauché les gens qui ont embauché les gens qui l'ont shippée à destination de Vienne, en juin. Comme quoi l'émission ne cesse de nous apporter de (décevantes) généreuses surprises.
Voici ma théorie sur son embauche. Les deux vraies animatrices qui étaient en onde à l'époque 90 minutes par jour, 3 jours par semaine chacune, sont exploitées. Elles ne sont pas vraiment payées, autrement que l'hébergement dans ce minable taudis meublé avec toilettes turques (et bidet) dans le ghetto de Vienne qu'elles partagent sur le bras de la production. Elles doivent donc, en parallèle, faire du travail Au Pair pour gagner de l'argent de poche. Choquées de se faire payer un séjour à l'étranger qui n'est pas un bar open über-resort, les deux jeunes femmes décident donc de faire pression via courriel à TQS pour avoir de meilleures conditions de travail, sous menaces de ne plus faire le compte à rebours "3-2-1, j'ouvre les lignes" et donc de saboter tout le concept de l'émission.S'en suit donc l'embauche de dernière minute de la seule autre candidate qui s'était présentée à l'audition d'une lugubre agence d'infopubs au printemps. Malgré son manque d'expérience et de crédibilité, la jeune championne débute nerveusement sa carrière de meneuse de claques pour joueurs compulsifs, dans une émission de conditionnement préparatoire pour Télé-Voyance qui jouera en boucle plus tard. Bien que la catastrophe télé soit évidente dès les premières minutes, les producteurs sont étonnés: les cotes d'écoute explosent d'un bon sur leur radar à public. (N'écoutez pas les BBM, les cotes d'écoutes sont tellement importantes, qu'elles sont retransmises en direct aux dirigeants de chaînes télé, reliés tels un patient malade et son soluté).
Les nocturnes du Québec, assoiffés de mauvaise télé, ont fait la preuve du phénomène de l'impact des réseaux sociaux sur la publicité. En un jour, la "remplaçante" des deux
animatrices officielles était promue à travailler le même nombre de jours que ses nouvelles amies de voyage: deux jours. (C'est pour alléger leurs tâches qu'elles ont aussi des semaines de vacances en rotation durant leurs contrats de trois mois).Vous avez une autre explication pour son embauche, vous?
Je veux dire....soyons curieux un peu là. Intéressons-nous au monde qui entoure notre cuire chevelu, en ne faisant pas abstraction des pellicules.
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